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L’HPGRB recycle ses agents de sécurité pour une durée de 90 jours.

Pendant 3 mois, 38 agents de sécurité que compte l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu (HPGRB) seront recyclés dans une session de formation.

Initié par la direction de l’hôpital provincial, ce programme vise à doter ce personnel, d’un niveau encore plus poussé de professionnalisme dans la sécurisation des personnes qui fréquentent l’HPGRB, leurs biens ainsi que les périphéries de l’hôpital.

Selon Guy-Thychique Kalume Buhendwa formateur dans ces assises qui s’achèvent en mars prochain, l’objectif est d’amener ces agents à s’acquérir de nouvelles technologies signalées dans leur secteur d’intervention et de se ranger en ordre de bataille.

« Nous avons reçu la charge de former ces participants pendant 3 mois sur la sécurité et l’informatique, une innovation notifiée depuis un bon bout de temps en cette matière. Ils seront capacités sur 3 modules. Lesquels porteront respectivement sur le gardiennage, l’anti-incendie ainsi que la sécurité santé. L’idée c’est de leur montrer que la technologie n’est pas non plus leur allié. S’ils ne font pas preuve d’un niveau assez élevé de professionnalisme, les responsables de l’hôpital peuvent se passer d’eux en faisant recours à des outils (cameras, alarmes,…) avec un nombre réduit du personnel pour les surveiller. » dit ce responsable de l’organisation Groupe one service œuvrant dans la sécurité.

Ce dernier renchérît ;

« Comme par exemple l’hôpital provincial est très vaste, s’il faut parler d’un des aspects discutés en formation c’est le contrôle accès. Il doit se faire dès l’accès à la première porte d’entrée. A l’intermédiaire, c’est au niveau de 3 voies qui mènent vers les urgences, les pavillons ou encore à l’entrée principale que ce contrôle doit être effectué. Au niveau terminal c’est vers les rayons. A tous ces stades, les agents de sécurité doivent s’assurer de qui entre dans les enceintes de l’HPGRB, avec quoi, et pour quelle finalité. L’objectif étant de remédier à l’insécurité et aux situations conflictuelles au sein de cette institution sanitaire de référence. » ajoute notre source.

Interrogé à ce sujet à l’issue de la formation de ce 25 janvier 2024, M. Ntayirwa Ntwali Yves remercie les dirigeants de l’hôpital provincial d’avoir rendu possible cette capacitation.

« Nous sommes sûrs que désormais plus que jamais nous allons rehausser le niveau de manœuvres sécuritaires au sein de notre hôpital à la grande satisfaction de tous. De lundi à vendredi de la semaine, nous sommes en formation pendant près de 4 heures le jour. Nous le faisons de manière rotative pour ne pas pénaliser le travail. Ceci est une grande opportunité mise à notre disposition et nous nous devons de la saisir et surtout mettre en pratique toutes les matières apprises. J’attends entre autres qu’à la fin de cette session, mes collègues améliorent leur communication auprès des gens qui fréquentent l’hôpital, leur parler d’un ton indiqué selon la situation qu’ils traversent, accentuer les techniques du contrôle d’accès, fouilles et autres. En tant que responsable du service de sécurité et gardiennage ici, je vais veiller sans faille à cela. » laisse-t-il entendre.

Sachez que cette séance de formation se tient dans la salle de réunion du département de médecine interne de l’HPGRB.

Service Ophtalmologie : La phacoémulsification, une technique de chirurgie sans cicatrice de la cataracte désormais pratiquée à L‘Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu (HPGRB)

L’hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu (HPGRB) organise une mission de consultation et opération sans cicatrice de la cataracte du 3 au 8 juillet 2023. Ceci, en partenariat avec le Professeur Dr Ahmed Mentwally Sedeek en provenance d’Egypte.

A cette occasion, cette structure sanitaire pour laquelle la grande renommée n’est plus à rappeler lance l’utilisation d’un nouvel appareil dans son service d’ophtalmologie, le Phacoémulsificateur.

Il s’agit, d’un outil permettant d’opérer la cataracte à travers une micro-incision de 3mm sous microscope. Différemment de la méthode Manual Small Incision Cataract Surgery (MSICS ) où on enlève la cataracte manuellement en créant une tunnelle sclérale après une incision de la conjonctive et de la capsule du tenon, avec notre environnement, la phacoémulsification vient apaiser le patient.

Elle lui rend possible une guérison rapide et une récupération visuelle sans gérer une quelconque cicatrice.

“L’utilisation de cet appareil est une grande fierté pour notre hôpital parce qu’il est entrain d’atteindre à pas de géant, les standards internationaux. Le phacoémulsificateur présente plusieurs avantages. Ce dernier par exemple emulsifie ( broute) 10mm de cataracte à travers une incision de 3mm. Cela permet de laisser le patient sans cicatrice et ne va utiliser les médicaments post-chirurgie que pour une courte durée avant de reprendre sa vie normale. Le deuxième avantage c’est le type d’implant qui est utilisé (hydrophobes acrylics square edges ) qui prévient la survenue de la cataracte secondaire . Donc, dans ces conditions, moins de patients auront besoin du laser taf capsulotomie avant une période d’au moins deux ans” détaille Dr Gloria Nshokano Simba.

Cette Ophtalmologue à L’HPGRB renchérit ;

“Actuellement la phacoemulsification fait partie des chirurgies refractives chez les patients ayant des troubles de la vision dûs à leur cristallin. Ou si l’on doit placer un artisan chez les forts myopes, c’est maintenant possible. Egalement, certains patients pourront abandonner leurs lunettes. Il ya un autre terme qui est souvent utilisé par différentes équipes en ophtalmologie ( Tu as une cataracte mais elle est encore à un stade non mature ), désormais, ce jargon va tomber parce que si cette cataracte petite soit elle entraine déjà un glare chez le patient, nous pouvons corriger cela sans attendre.Le terme est utilisé du fait que pour la technique MSICS en général, l’on attend que la cataracte soit mature pour l’extraire en totalité.Enfin, les enfants présentant aussi une cataracte qu’elle soit congénitale ou acquise vont aussi bénéficier de la chirurgie avec possibilité d’une vitrectomie antérieure après capsulotomie postérieure” nous dit-elle!

Bref; l’ophtalmologue Gloria Nshokano Simba remercie tout d’abord l’équipe dirigeante de L’HPGRB pour l’appui sans relâche au service d’ophtalmologie et pour ce cas précis pour le lancement de la chirurgie moderne par phacoemulsification.

Elle fait ensuite un appel vibrant à tous les habitants du Sud-Kivu et ses environs pour visiter l’hôpital surtout pendant cette période de sélections des patients qui seront opérés dans la mission de juillet prochain.

Celle-ci affirme par exemple que l’opération de la cataracte par oeil coûtera moins pendant la mission pour permettre un accès à tous . Et qu’à travers tout le pays, c’est seulement à l’HPGRB que cette chirurgie sera à ce prix.

Toute fois, Nsimba confirme que les méthodes MSICS tout comme PHACO seront toutes utilisées pour le bien de nombreux clients de L’HPGRB et cela selon les indications.

Pour rappel, la cataracte est une maladie des yeux caractérisée par la présence d’une tâche blanche dans le noir de l’œil et représentant à l’échelle mondiale, la première cause de cécité.

JIF 2023 : l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu réitère son engagement

Après la marche organisée par la patronne du genre au Sud-Kivu, la journée a allié une réflexion sur l’état sécuritaire du pays.

Unis autour du thème axé sur la non balkanisation à l’est de la RDC, cette journée du 8 mars a permis  de renforcer les liens entre les membres du personnel, et de cultiver le sentiment d’appartenance indispensable à la réussite des projets hospitaliers. 

Marquée par d’importants moments d’échanges, c’est un ensemble commun et homogène qui a animé  les discussions, sans distinction de grades ou quelques positions que ce soit, durant tout l’après-midi. Médecins, infirmières, direction, administratifs, filles de salles, assistants techniques, ce sont tous accordés pour joindre leur voix à l’appel du comité des femmes de l’HPGRB pour la marche de paix. 

Cette marche a permis aux femmes et filles de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu de dire non au plan de balkanisation de la République démocratique du Congo, implorant le retour d’un climat de paix à l’est du pays. 

Comme disait Ellen Johnson Sirleaf: “si vos rêves ne vous font pas peur, ils ne sont pas assez grand”.A 8h30 précise, heure de départ, les femmes ont enclenché d’un pas serein la marche qui est partie de la place MUNZIHIRWA jusqu’à la place de l’indépendance. Captivées par des discours centrés autour d’un seul message: «pour une paix durable, non au plan de balkanisation de notre cher pays, la République démocratique du Congo.».

Ensuite, elles se sont réunies dans les enceintes de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu, en vue de communier avec toutes les femmes. Le climat n’étant pas à la fête pour cette énième édition de la journée internationale des femmes comme à  l’accoutumée, mais plutôt à  la réflexion sur des sujets qui tiennent à cœur, notamment la situation sécuritaire à l’est du pays.

Notons que l’HPGRB est une institution en phase avec les défis modernes qui participe tout aussi à la promotion de la femme. A ce jour, l’hôpital compte quelque 250 femmes, toutes qualifiées dans leurs domaines respectifs et dévouées aux malades. L’hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu est en phase de restructuration dans le cadre de son plan d’action et en plein processus de changement de comportements. 

Le but est d’améliorer la qualité de la prise en charge des patients. Il est donc important de mettre en place une politique d’accompagnement du personnel, qui passe par une communication adéquate avec tous les acteurs. Ainsi, l’approche adoptée permet au personnel d’exprimer satisfactions et craintes quant à l’avenir.

Avec assurance, ce beau moment se renouvellera l’an prochain avec un hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu meilleur qu’aujourd’hui et cela pour le bien de la population de la province du Sud-Kivu et de ses environs !

 Sud-Kivu: la problématique de la prise en charge de la malnutrition chez les enfants à l’HPRB.

La malnutrition infantile demeure un réel problème de santé publique en RDC. Dans sa forme sévère, elle touche environ 2 millions d’enfants de moins 5 ans et contribue à un peu plus 45% de décès de ces enfants. Par ailleurs, la malnutrition constitue une toile de fond sur laquelle se greffent plusieurs infections. La province du Sud-Kivu n’est pas épargnée par ce fléau. Elle figure parmi les provinces de la RDC les plus affectées par la malnutrition avec environ 48% d’enfants qui souffrent de la malnutrition. Paradoxalement, les estimations montrent qu’environ 70% des enfants malnutris en RDC n’ont pas accès au traitement. Cette situation compromet davantage les chances de survie de ces enfants.

Patrick : Docteur, quelles sont les causes de la malnutrition d’une manière générale?

Dr Kambale : De façon simple, la malnutrition est due à 2 grandes causes :

  • La cause primaire, liée à une insuffisance d’apports en aliments et
  • La cause secondaire, liée à une incapacité pour le corps de la personne à utiliser les aliments consommés

Patrick : Docteur, quels sont les facteurs qui expliquent la cause primaire c’est-à-dire l’insuffisance en apport alimentaire ?

Dr Kambale : l’insuffisance d’apport peut être liée à 3 facteurs :

  • Insuffisance de production alimentaire : le sol pauvre, catastrophes naturelles (inondations, incendies, volcans), instabilités politiques entrainant les déplacements massifs des populations tel que nous le vivons dans nos zones déchirées par des guerres.
  • Inaccessibilité géographique : vétusté des routes, rareté des moyens de transport terrestres, maritimes ou aériens pour relier les zones de production alimentaire et les zones de consommation
  • Inaccessibilité financière : faible niveau socio-économique entraine l’incapacité des ménages à s’acheter les aliments.

Patrick : Docteur, à quoi faites-vous allusion quand vous évoquez les causes secondaires ?

Docteur Kambale : Dans le cas des facteurs secondaires, les aliments sont bel et bien disponibles, mais l’organisme de l’individu ne peut pas soit les absorber, soit les digérer, soit les assimiler, pour qu’ils lui soient bénéfique. Il y a plusieurs maladies qui occasionnent ces genres de situation.

Patrick : Docteur, quelles sont les conséquences de la malnutrition chez l’enfant ?

Docteur Kambale :

  • A court terme, la malnutrition affaiblit les moyens de défense de l’individu et le rend vulnérable vis-à-vis des maladies. L’individu malnutri sera donc plus souvent malade qu’un individu sans malnutrition. Par ailleurs, la malnutrition peut entrainer la mort de l’enfant;
  • Chez les survivants de la malnutrition, il y a :
  • Risque de retard d’acquisitions psychomotrices (marche, langage, retard d’apprentissage, difficultés scolaires) ;
  • Persistance de retard de croissance ;
  • Risque de développer le surpoids, l’obésité et les maladies cardiovasculaires ;
  • Cycle inter générationnel de la malnutrition : des jeunes filles qui souffrent de la malnutrition peuvent maintenir ce trouble de croissance à l’adolescence et seront plus susceptibles d’avoir des bébés de petite taille ; qui, à leur tour, s’il s’agit de filles, poursuivront le cycle.

Patrick : Docteur, quels sont les défis liés à la prise en charge des enfants malnutris à l’HPGRB ?

Docteur Kambale : La prise en charge des enfants malnutris à l’HPGRB se heurte à plusieurs contraintes. La première c’est le tri des enfants malnutris. Etant au niveau tertiaire sur la pyramide sanitaire au Sud-Kivu, normalement à l’HPGRB nous ne devrions que nous occuper des enfants malnutris sévères avec complications. Les autres cas de malnutrition sévère sans complications, ou les cas de malnutrition modérée sont censés être pris en charge dans les structures nutritionnelles périphériques. Malheureusement la plupart de ces structures sont inexistantes, et celles qui existent sont dépourvues d’intrants. Il nous arrive donc de prendre en charge toutes ces formes de malnutrition, malgré notre capacité d’accueil limité, l’absence d’intrants nutritionnels et l’absence d’appui extérieur. Ceci fait que nous enregistrons beaucoup d’admissions (en moyenne 60 admissions d’enfants malnutris par mois).

Patrick : Et quelle est la capacité d’accueil du Centre Nutritionnel et Thérapeutique

Dr Kambale : Nous disposons de 5 lits en Unité de Soins Intensifs, 15 lits en Unité de Transition, 35 lits et Unité de Réhabilitation Nutritionnelle et 5 lits en Unité d’Isolement.

Patrick : Existe-t-il d’autres contraintes ?

Dr Kambale : Oui ; il s’agit du manque d’intrants nutritionnels et thérapeutiques. Actuellement les programmes de prise en charge de la malnutrition tant au niveau hospitalier qu’au niveau communautaire sont coûteux. Ils sont donc sous-financés. Cela fait que seulement 30% d’enfants malnutris en RDC ont accès aux soins. Pour donner la chance de survie à ces enfants, l’HPGRB dispense presque gratuitement les soins à ces enfants, ce qui constitue quand même un manque à gagner important pour l’hôpital.

Par ailleurs, l’HPGB est aussi confronté au manque d’intrants nutritionnels. Pour pallier le manque des laits et des aliments thérapeutiques, nous utilisons des alternatives nutritionnelles constituées de lait entier,  et des préparations à base de la bouillie  de maïs-sorgho-soja enrichie avec l’huile végétale et le sucre.

Patrick : Et quels résultats obtenez-vous en recourant à ces alternatives nutritionnelles ?

Dr Kambale : Le taux de mortalité varie entre 7 et 9% et le taux de récupération nutritionnelle entre 75 et 80%. Ce sont des indicateurs acceptables selon les normes de l’OMS qui fixent le seuil de moins de  10% pour le taux de mortalité et plus de 75% pour la récupération nutritionnelle.

Patrick : Docteur, avez-vous une idée du devenir de ces enfants après l’hospitalisation au Centre Nutritionnel et Thérapeutique ?

Dr Kambale : Oui. La gestion à domicile des enfants sortis guéris de notre centre nutritionnel pose  d’énormes problèmes. Les estimations montrent que plus de 90% des ménages où sont issus ces enfants vivent sous le seuil de pauvreté. A la sortie, ces enfants retournent donc leurs domiciles dans les mêmes conditions socioéconomiques précaires. Une étude pilote que nous avons menée pour évaluer la survie de ces enfants après hospitalisation a montré qu’environ 30% de ces enfants rechutent dans les 6 mois suivant l’hospitalisation et 4% décèdent à domicile.

Patrick : Docteur, quelles sont les pistes de solution pour améliorer la prise en charge des enfants malnutris ?

Dr Kambale : la prise en charge de la malnutrition implique plusieurs acteurs : les politiciens, les économistes, les agronomes, les médecins, les nutritionnistes, les psychologues, etc. Pour améliorer la prise en charge de ces enfants vulnérables à l’HPGRB, nous sollicitons l’appui des organismes tant nationaux qu’internationaux pour couvrir les soins administrés à ces patients. Par ailleurs, l’amélioration des conditions socioéconomiques, la pacification des régions en conflits armés, l’amélioration de la politique agricole et la modernisation des infrastructures sont autant d’autres facteurs pouvant contribuer à endiguer ce fléau qu’est la malnutrition infantile.

Patrick : Docteur Kambale, je vous remercie

Dr Kambale : Je te remercie aussi Patrick

 

HPGRB/AMIDOSA : CLOTURE DES ACTIVITES DE L’AMICALE DES DONNEURS BENEVOLS DE SANG   EN 2022

Le don de sang étant un geste salutaire pour un grand nombre des malades et particulièrement dans les structures de niveau tertiaires. L’Amicale des Donneurs de Sang de l’Aumônerie Catholique de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu (AMIDOSA/aumônerie-HPGRB) a participé à une messe d’action de grâce dans le but de sensibiliser les fidèles sur le sens de ce geste salutaire, en date du 08 Janvier 2023, jour d’Epiphanie.

A la même occasion, cette association sans but lucratif, a procédé à la clôture des activités de  l’année 2022 en octroyant des certificats et des diplômes à certaines personnes qui les méritaient.

A l’issue de cette messe qui a été célébrée par l’Abbé Protais Hamuli Ntendere, Aumônier de (HPGRB), 8 lauréats donneurs bénévoles de sang ont été gratifiés par l’obtention des certificats de mérite pour avoir réalisé 12 ou 10 dons respectivement  pour les hommes et pour les femmes  pendant les  3 dernières années.

D’autres personnalités à l’occurrence S.E Mgr François-Xavier Maroy Rusengo, Archevêque de Bukavu et le Professeur Dr Guy Mulinganya Mulumeoderhwa, Médecin Directeur de l’HPGRB, et Mr l’Abbé Jean Baptiste KABAZANE Nsibula, ont obtenu des diplômes de professionnalisme humanitaire suite à leur passion  et engagement affichés envers les malades nécessitant une assistance.

Enfin, deux diplômes ont été décernés, à titre de posthume aux regrettés Dr Serge Miyanga Ahuka et au Technicien du Labo Léopold Aissi Lwayakonge, premiers pionniers de l’AMIDOSA.

Ces certificats et diplômes de mérite ont été délivrés par un jury compétent présidé par Mr Kalinda Jean Bosco, Mr Kahasha Bonaventure et du Dr Mulumeoderhwa Pierrot, Médecin Conseil de l’Association.

Il sied de rappeler que l’AMIDOSA/aumônerie HPGRB est opérationnelle à l’HPGRB depuis 2013 sous l’égide de Mr l’Abbé Jean Baptiste KABAZANE Nsibula et le Dr Marcel Mweze Canga, Ancien Médecin Directeur de l’HPGRB, et cela sur demande  accrue des malades  nécessitant le sang qualifié, offert par des personnes animées de bonne volonté.

Les donneurs bénévoles ont réitéré leur engagement et fidélité à travers l’apostolat de don régulier et sécurisé de sang et invitent les autres fidèles éligibles à pouvoir adhérer dans l’association pour  continuer à donner de l’espoir aux malades.

Enfin, Monsieur le Médecin Directeur de l’HPGRB, a pris la parole pour exprimer toute sa gratitude à  tous les membres de l’AMIDOSA pour ce geste salutaire de  don bénévole de sang  et a invité le reste de la communauté ,en général, à pouvoir adhérer à cet élan   altruiste  pour accroître le nombre de donneurs fidélisés et  aussi contribuer à la meilleure prise en charge clinique de malades.