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Yearly Archives: 2025

Du manuel au numérique : la révolution efficace du laboratoire de l’HPGRB au fil des années.

Le laboratoire de l’HPGRB : au cœur de la prise en charge médicale au Sud-Kivu

Le laboratoire de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu (HPGRB) est aujourd’hui reconnu comme un centre de référence régional. Véritable cerveau moteur de l’hôpital, il contribue activement à la rapidité et à la qualité des soins offerts aux patients.

Un service dynamique en 2025

En cette année 2025, l’équipe du laboratoire travaille dans un rythme régulier et maîtrisé.

Grâce à un engagement collectif autour de la rigueur, de la ponctualité et de la précision, les résultats d’analyses sont désormais fournis dans des délais raisonnables, réduisant le temps d’attente des patients.

Un système de suivi des examens est mis en place pour s’assurer du respect strict des délais, avec une équipe dédiée qui fait la liaison entre le laboratoire et les différents services et départements de l’hôpital. Cette réactivité permet de détecter rapidement les urgences médicales, tout en renforçant la confiance des patients.

Le circuit débute par un formulaire de demande d’examens, dûment rempli et signé par un médecin. Après prélèvement de l’échantillon, le patient est informé du temps moyen d’attente, qui oscille entre 30 minutes et 2 heures, en fonction de l’examen demandé. À noter que les cultures, techniques qui permettent la multiplication des germes pour une identification plus aisée des pathogènes, ainsi que des médicaments actifs sur la maladie, peuvent exiger plus de 24 heures d’attente. Le respect de ce temps, une devise pour notre laboratoire, renforce la crédibilité du service.

Une organisation structurée en six unités principales

Le laboratoire de l’HPGRB est composé de six grandes unités, chacune jouant un rôle essentiel dans le diagnostic :

1.     Prélèvement

Tout commence ici. Les échantillons sont collectés selon les examens prescrits, puis envoyés au laboratoire central, qui les répartit aux unités concernées. Un suivi rigoureux est assuré jusqu’à la délivrance des résultats.

2.    Hormono–Immuno–Sérologie

Cette unité effectue de nombreuses analyses hormonales : hormones thyroïdiennes, hypophysaires, oncologiques (cancer du sein, de l’estomac, etc.). Grâce aux automates acquis, les résultats sont disponibles entre 30 minutes et 1 heure.

Les examens sérologiques y sont également réalisés : VIH, hépatite B, syphilis, virus de l’hépatite C (VHC), chlamydia, cytomégalovirus, rubéole, toxoplasmose et autres.

Un système informatisé (OpenClinic) permet au clinicien d’accéder directement aux résultats, mais chaque fiche imprimée est aussi remise sous pli fermé au patient pour transmission au médecin traitant.

3.    Biochimie

Grâce à des équipements modernes, la biochimie de l’HPGRB réalise des analyses biochimiques essentielles pour détecter les maladies rénales, hépatiques, pancréatiques, le diabète et d’autres pathologies métaboliques. Certains paramètres sont aussi analysés par méthode semi-automatique.

4.    Bactériologie

Révolutionnée par l’arrivée de l’automate Render, la bactériologie fournit désormais des résultats plus rapidement et avec précision (Render MA120 pour identification et antibiogramme, Render BC32 incubateur pour hémoculture). Cette innovation permet à nos médecins de suivre efficacement les traitements antibiotiques.

Des examens comme la charge virale du VIH, les hépatites B et C, ou encore le stéréotypage du papillomavirus humain (HPV), ainsi que les tests PCR y sont également réalisés.

5.    Hématologie

Grâce aux automates, la majorité des examens sont réalisés rapidement : Numération de la Formule Sanguine (NFS), facteurs de coagulation. Seuls la vitesse de sédimentation (VS), le réticulocyte, le frottis sanguin, le myélogramme et la goutte épaisse sont encore faits en méthode manuelle.

6.    Banque de sang

Service crucial pour les urgences, la transfusion et les cas critiques, soutenu par un personnel qualifié et une gestion rigoureuse des stocks.

Des équipements à la hauteur des exigences

Depuis 2018, l’hôpital a investi dans le laboratoire en acquérant 11 automates répartis dans les différentes unités du laboratoire. Ces machines permettent :

· Un gain de temps significatif

· Un nombre élevé d’analyses simultanées

· Une réduction des risques pour les techniciens

Avant l’arrivée des automates, les techniciens réalisaient les manipulations manuelles des échantillons, ce qui rendait les processus plus longs et exigeait une vigilance accrue.

Une équipe engagée pour la qualité

Le laboratoire compte aujourd’hui une équipe de 24 prestataires, biologistes, techniciens et infirmiers, bénéficiant d’une formation spécialisée en laboratoire, fruit d’un effort continu pour renforcer les compétences et la qualité des soins.

Chaque jour, le laboratoire accueille entre 100 et 200 patients, provenant de nos départements variés :

· Anatomopathologie

· Chirurgie

· Gynécologie

· Imagerie médicale

· Médecine aiguë

· Médecine interne

· Pédiatrie

· Services spécialisés (Dentisterie, Ophtalmologie, Otorhinolaryngologie).

Face à cela, la direction de l’HPGRB envisage d’agrandir les locaux du laboratoire pour faire face à l’afflux croissant de patients et accueillir de nouveaux équipements plus intelligents, renforçant la dynamique actuelle.

Retour bref sur l’historique du laboratoire

Avant les années 1990, l’hôpital ne possédait pas son propre laboratoire au vrai sens du terme. Les échantillons étaient envoyés au laboratoire régional de Karhale, ce qui entraînait des délais importants et une prise en charge retardée. Au sein de l’hôpital, ne se faisaient que quelques examens de base.

En 1996, le laboratoire régional est relocalisé dans l’enceinte de l’HPGRB suite à une restructuration.

Les premiers équipements viennent du laboratoire régional, mais complétés progressivement grâce au lobbying de partenaires comme M. Haumont, un bienfaiteur belge.

À cette époque, les techniques reposaient essentiellement sur des méthodes manuelles, avec des contraintes liées à la durée des analyses et aux conditions de travail.

Vers 2000–2001, un bâtiment dédié est construit pour le laboratoire, mais les méthodes restent encore artisanales.

C’est à partir de 2018 qu’un véritable tournant technologique est amorcé : arrivée des automates, numérisation dynamique du système et accès digitalisé aux résultats, amélioration des délais, fiabilité renforcée.

Une fierté régionale en 2025

Aujourd’hui, le laboratoire de l’HPGRB incarne :

· La modernisation médicale

· La transparence dans les résultats

· La qualité du personnel

· L’efficacité dans la prise en charge

Il est à juste titre un motif de fierté pour l’hôpital et pour toute la région.

CAMPAGNE DE NOTORIÉTÉ JUILLET 2025

Le Département d’Anatomopathologie de l’HPGRB : un levier de diagnostic, de formation et de recherche médicale à Bukavu.

Depuis sa création en l’an 2000, le Département d’Anatomopathologie(ANAPATH) de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu(HPGRB) s’est imposé comme un pilier essentiel du diagnostic médical dans l’Est de la RDC.

Il analyse les tissus et cellules pour révéler l’invisible et guider les traitements.

Le Département reçoit des prélèvements issus non seulement du Sud-Kivu, mais aussi du Nord-Kivu, du Maniema et même d’autres provinces et Pays voisins. 

En interne, les échantillons proviennent des Départements de Chirurgie, de Médecine Interne, de Gynécologie-obstétrique, de Pédiatrie, mais aussi de structures partenaires et cliniques privées.

Rôle et activités

Le département d’ANAPATH est chargé de l’examen histologique et cytologique des tissus humains. Les analyses permettent d’identifier la nature des lésions (inflammatoires, bénignes, malignes) et de confirmer ou d’orienter les diagnostics cliniques.

Les examens les plus courants incluent :

  • L’histopathologie (analyse des tissus prélevés par biopsie ou chirurgie),
  • La cytologie (analyse des cellules isolées, notamment via les frottis et ponctions),
  • Les examens extemporanés (diagnostic rapide pendant une intervention chirurgicale).

Ces investigations permettent, par exemple, de confirmer un cancer, d’orienter une chirurgie, ou de détecter des infections spécifiques.

Expertise et fonctionnement

Le travail repose sur une chaîne rigoureuse : réception et enregistrement des échantillons, fixation et inclusion dans la paraffine, coupe fine au microtome, coloration, observation microscopique et interprétation par un médecin anatomopathologiste.

Chaque étape nécessite précision et savoir-faire, car un seul échantillon mal traité peut compromettre le diagnostic.

Équipements et ressources humaines

Le Département dispose d’un laboratoire équipé de microscopes optiques, de microtomes, d’étuves et de colorateurs automatiques. 

L’équipe est composée d’un médecin anatomopathologiste, d’un médecin en spécialisation, d’un technicien de laboratoire spécialisé et de personnel de soutien. Cette structure performante assure un travail fiable.

Perspectives

Fort de son expertise actuelle dans le traitement et l’analyse des prélèvements histologiques et cytologiques, le Département d’Anatomopathologie entend franchir un nouveau cap dans les années à venir.

Parmi ses priorités figure l’introduction de l’immunohistochimie manuelle, qui viendra compléter les techniques déjà maîtrisées pour affiner le diagnostic de nombreuses pathologies, notamment en cancérologie.

L’acquisition d’un microscope multi-tête est également envisagée, afin de faciliter les discussions collégiales autour des cas complexes et de renforcer la formation des médecins et étudiants.

Enfin, l’introduction progressive de la biologie moléculaire, en synergie avec les méthodes actuelles, ouvrira la voie à des diagnostics encore plus précis et à des recherches innovantes.

Ces avancées s’accompagneront d’un renforcement des partenariats avec les structures médicales de la région et des pays voisins, ainsi que d’un programme de formation continue pour maintenir l’excellence du dit Département.

Médecine aigüe à l’HPGRB : trois services, une mission pour sauver des vies, chaque seconde

Au Sud-Kivu, l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu, occupe une place de choix. Il est le principal hôpital de niveau tertiaire de l’Est de la RDC, offrant des soins de qualité à la population du Sud-Kivu et d’ailleurs.
Nous découvrons ce jour le département de médecine aiguë

Petite Historique du département

Le département de Médecine Aiguë a été créé en 2022 pour répondre aux besoins croissants en soins critiques dans la région. composé de 3 services préexistants : Urgences, Soins Intensifs et Bloc Opératoire, il assure la prise en charge des patients en état critique nécessitant une surveillance continue et rapprochée.

Rôle+Mission

Ce département prend en charge les urgences médicales graves, telles que les détresses respiratoires, les états de choc, les infections sévères et les complications métaboliques aiguës, assurant une prise en charge rapide et efficace. En plus des urgences médicales graves, il prend également en charge, les situations chirurgicales et traumatiques.

Équipe et expertise

L’équipe est composée de médecins formés en soins intensifs et réanimation, d’infirmiers qualifiés, d’anesthésistes et d’autres techniciens. Cette équipe pluridisciplinaire assure une prise en charge optimale des patients.

Infrastructures et équipements
Dans ses trois services, le département de médecine Aiguë de l’HPGRB détient des équipements d’assistance modernes permettant une bonne prise en charge des patients, en passant par les urgences jusqu’à l’unité de soins intensifs.
Aux soins intensifs par exemple, nous trouvons des moniteurs multiparamétriques pour la surveillance instantanée, la radiographie numérique, ECG et EEG, des appareils d’assistance tels que : respirateurs fixes et mobiles, des défibrillateurs automatiques et semi-automatiques, des appareils pour la dialyse intensive (qui est une innovation première dans la région est de la RDC).
Il est à noter que le département de médecine aigüe de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu figure parmi les rares hôpitaux de la RDC qui mettent à la disposition de patients, l’hémodialyse intensive.

A titre informatif, L’hémodialyse intensive est une technique de remplacement rénal qui augmente la fréquence et/ou la durée des séances d’hémodialyse. Elle est utilisée pour éliminer les déchets, l’excès de liquide et les toxines du sang lorsque les reins ne fonctionnent plus correctement.

Dans tous les coins de l’hôpital, des chariots de réanimation sont positionnés pour une prise en charge rapide des patients

Au bloc opératoire, nous disposons des machines d’anesthésie et des équipements nécessaires pour l’anesthésie locorégionale, du matériel pour la scopie dans divers domaines de la chirurgie.

En cas d’Urgences, nos ambulances équipées en matériel d’assistance et de réanimation sont disponibles 24h sur 24 pour répondre aux besoins de familles en détresse.
Vous pouvez contacter l’ambulance au +243843520351 et les urgences au +243853721111

Une alimentation énergétique fonctionnelle 24h/24 garantit une continuité des soins sans interruption.

Des patients nous témoignent
Je suis venue de Shabunda, j’ai fait plusieurs mois ici car mon état était très critique. Je suis très contente, satisfaite de la qualité de soins que j’ai reçu ici à l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu. Les médecins et tout le personnel étaient bienveillant. J’avais déjà perdu tout espoir en une possible guérison, mais grâce à leur professionnalisme et l’aide de Dieu, je m’en suis sortie. Je ne quoi dire…Que Dieu les bénisse et qu’ils continuent ainsi“, déclare, toute émue, une centenaire avant sa sortie de l’hôpital.

Défis et perspectives

Le département fait face à des défis tels que l’afflux important de patients et les besoins en plus d’équipements spécialisés. Cependant, grâce à l’engagement du personnel, de la Direction et au soutien de partenaires, des progrès notables sont réalisés chaque année.

Tout en assurant la relève et en renforçant les capacités du système de santé provincial, le département vise à devenir une référence en soins d’urgence et intensifs dans la région.

HPGRB : L’Imagerie Médicale d’Excellence au Service de Tous.

Le service d’imagerie médicale de l’Hôpital Provincial Général de Référence de Bukavu(HPGRB) réalise des examens diagnostiques et thérapeutiques sur prescription médicale interne ou externe.

Nous proposons plusieurs types de clichés et techniques avancées, notamment :

· Radiographie conventionnelle

· IRM (Imagerie par Résonance Magnétique)

· Scannographie (Scanner)

 À venir : la mise en place de traitements thérapeutiques tels que la radiothérapie et la curiethérapie, dans le cadre d’une extension vers la médecine nucléaire.

1.    NOTRE ÉQUIPE SPÉCIALISÉE

Le Département est animé par une équipe de 6 médecins radiologues expérimentés, accompagnés par des assistants dévoués :

1.    Dr BULABULA Yannick

2.    Dr BUSIME Anastasie

3.    Dr CANWA Ferdinand

4.    Dr KABUNGA Quentin

5.    Dr MAHESHE Ghislain

6.    Dr NSIMIRE Solange

2.    VISION

L’HPGRB ambitionne de devenir un acteur central de la médecine nucléaire en RDC.

En tant qu’école de formation, nous collaborons étroitement avec l’Université Catholique de Bukavu (UCB) et accueillons régulièrement des stagiaires souhaitant se spécialiser en imagerie médicale.

Nous croyons que la formation continue et le développement des ressources humaines sont essentiels pour combler le déficit en radiologues dans le pays.

3.    NOTRE DEVISE

« L’Excellence dans la Transparence »

Notre Département d’Imagerie médicale est guidé par l’éthique, la déontologie médicale et le respect centré sur le patient. Une attention particulière est portée à la radiologie pédiatrique, avec des soins adaptés aux enfants et adolescents.

4.    NOS SERVICES

Ø Échographie

Pour l’analyse des tissus mous (utérus, ovaires, abdomen, bassin, cou, etc.)

Ø IRM (Imagerie par Résonance Magnétique)

Technique basée sur l’aimantation des tissus, fournissant des images 2D ou 3D.

Ø Radiographie

Imagerie utilisant les rayonst X, utile pour détecter les fractures, lésions ou pathologies internes.

Ø Scanner

Imagerie en coupes fines du corps, combinant rayons X et traitement informatique.

5.    NOTRE PLATEAU TECHNIQUE (EQUIPEMENTS)

· CATHLAB (actuellement en cours d’aménagement)

· Salle IRM

· Salle d’échographie (dotée d’équipements de dernière génération)

· Salle de radiographie

· Salle de scanner

· DEXA-SCAN (le tout premier en République Démocratique du Congo)

6.    COORDONNEES

Adresse : N° 2, avenue Michombero, Quartier Nkafu, Commune de Kadutu (En diagonale de la pharmacie et des urgences, sur le chemin vers la Clinique Privée ou B et l’unité de Kinésithérapie)

Téléphones : +243 843 520 357 ,  +243 853 721 111

Email : hpgrbuk@gmail.com

Site web :  www.hpgrbukavu.org

28 juillet, Hépatite : Une maladie grave mais évitable, le dépistage peut te sauver.

Le 28 juillet est la Journée mondiale contre l’hépatite. Cette journée internationale a pour but de sensibiliser le public à l’épidémie d’hépatite et de promouvoir des initiatives visant à améliorer l’accès aux services de dépistage et de traitement.

L’hépatite désigne une inflammation du foie pouvant être causée par divers facteurs, tels que des infections virales, des toxines, des médicaments, des maladies auto-immunes ou des abus d’alcool. Les formes les plus répandues d’hépatite virale sont les hépatites A, B, C, D et E.

L’hépatite A et E se transmettent généralement par l’eau ou des aliments contaminés, tandis que les hépatites B, C et D se propagent principalement par contact avec des fluides corporels infectés. Les hépatites virales peuvent également résulter de comportements à risque, comme le partage de seringues ou des rapports sexuels non protégés.

Les symptômes de l’hépatite varient selon la gravité de l’inflammation et la cause. Dans les cas légers, certaines personnes peuvent ne présenter aucun symptôme, tandis que d’autres peuvent éprouver de la fatigue, des douleurs abdominales, une perte d’appétit, des nausées, des vomissements, des douleurs articulaires et une jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux). Les symptômes peuvent apparaître plusieurs semaines après l’exposition au virus et durer de quelques semaines à plusieurs mois.

Les conséquences de l’hépatite peuvent être graves, surtout si elle n’est pas traitée. L’hépatite aiguë peut se transformer en hépatite chronique, notamment pour les hépatites B et C, ce qui peut entraîner des complications à long terme telles que la cirrhose, le cancer du foie et l’insuffisance hépatique. Ces conditions peuvent nécessiter des interventions médicales complexes, y compris des greffes de foie. De plus, l’hépatite peut également affecter d’autres organes et systèmes du corps, entraînant des complications systémiques.

Le traitement de l’hépatite dépend de sa cause et de sa gravité. Pour l’hépatite A et E, il n’existe généralement pas de traitement spécifique, et la prise en charge se concentre sur le repos, l’hydratation et une alimentation équilibrée. Pour l’hépatite B et C, des antiviraux peuvent être prescrits pour contrôler l’infection et prévenir les complications. Des vaccins sont disponibles pour prévenir l’hépatite A et B. La prévention demeure essentielle, notamment par des pratiques d’hygiène appropriées, des vaccinations et la réduction des comportements à risque.

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